Adjoint à la Sous-directrice de la sécurité sanitaire des aliments à la Direction générale de l’alimentation du ministère de l’agriculture et l’alimentation
Yann LOUGUET, est adjoint à la Sous-directrice de la sécurité sanitaire des aliments à la Direction générale de l’alimentation du ministère de l’agriculture et l’alimentation. La SDSSA est chargée à la DGAL des actions visant à assurer la maîtrise de la sécurité sanitaire des denrées alimentaires et ce aux différentes étapes de la chaîne alimentaire. Ces actions portent sur l’élaboration et la mission en œuvre de la réglementation, sur la surveillance de la chaîne alimentaire, le contrôle officiel des conditions de production des denrées alimentaires, ainsi que, en étroite collaboration avec la Mission des Urgences sanitaires, la gestion des crises sanitaires alimentaires.
Son parcours professionnel
Yann LOUGUET a débuté sa carrière en qualité de vétérinaire vacataire d’abattoir de boucherie ; à l’interface entre éleveur et consommateur il a apprécié de travailler pour l’intérêt collectif. Nommé ISPV, il a été affecté successivement au bureau de la santé animale à la DGAl, au bureau des signes de qualité à la DGPAAT, puis chargé du volet agricole des accords de libre échange au ministère de l’Economie avant de réintégrer le ministère de l’agriculture comme chef du bureau de l’organisation économique à la DGPAAT puis chef du bureau des produits de la mer et eau douce à la DGAl.
Sa contribution à la SPV
Le parcours de Yann LOUGUET est très diversifié ; si les fonctions exercées à la DGAl relèvent directement de la santé publique vétérinaire la question peut se poser pour celles relevant de directions générales à vocation économique.
De ce point de vue, l’activité du bureau de l’organisation économique est très orientée sur les organisations interprofessionnelles, les organisations de producteurs, le statut des entreprises. Néanmoins les aspects réglementaires et juridiques sont prégnants tout comme à la DGAl, avec des contacts fréquents avec le service des affaires juridiques voire le Conseil d’Etat.
A l’inverse, s’agissant des signes de qualité, le respect des règles sanitaire de production constitue une condition de base incluse dans les cahiers des différents labels et appellations ; de la même façon les barrières sanitaires sont un enjeu récurrent dans les négociations pour la libéralisation des échanges commerciaux. L’aspect technique est essentiel dans les bureaux concernés.